Histoires du quartier - 1

Scénario de Gabi Beltrán. Dessin de Bartolomé Seguí

Les «400 Coups» en version espagnole! Un récit d'une sensibilité rare, tout en nuances, porté par l'émotion palpable du souvenir.

Palma de Majorque, dans les années 1980. Chaque recoin du quartier où vit Gabi a une histoire à raconter. Adolescent, il traîne avec ses copains dans les rues de son petit monde en essayant de comprendre ce qui s'y passe et se forge une expérience de vie inoubliable. Entre la drogue, les prostituées et les menus larcins, Gabi se réfugie dans la littérature, le dessin... et découvre que les différences sociales représentent parfois des frontières infranchissables.
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      • 152 pages 170 x 240 mm

        ISBN : 9782070650194

        Date de parution : 05/09/2013

      • Traduit (espagnol) par :

        André Gabastou

      • Collection :

        Bayou

Feuilleter

La presse en parle

«Ce chouette album retrace avec beaucoup de justesse et de sensibilité une adolescence au fil du rasoir» (L'Express).

«Cette jeunesse, c'est celle de Gabi Beltrán, scénariste de cette BD, pleine de vie et d'espoir» (Le Parisien/Aujourd'hui en France).

«Une réflexion émouvante et douloureuse sur l'isolement, l'insularite ; ou comment raconter les impossibilites d'une île» (Les Inrockuptibles).

«Une sublime percée dans la tête d'un adolescent malheureux» (Transfuge).

«Destins d'adolescents, critique sociale, roman d'apprentissage... Il y a un melange puissant dans ces pages parfaitement dessinees - a la fois stylisees et realistes -, qui temoignent aussi de la grande qualite de l'ecole espagnole de la BD» (La Voix du Nord).

«Les histoires de Beltrán sont souvent elliptiques mais toujours empreintes de gravité. On y parle de solitude, de mort, d'incommunicabilite, tous ces grands mots. Mais, là où la plupart des artistes y mettent une sorte de solennité abstraite, Beltrán est court, concret, violent. Le dessin de Segui, sans fioritures, colle bien à cette netteté plus physique que métaphysique. Lui aussi est né dans l'île et, au fond, comme Beltrán, n'en est jamais vraiment sorti» (Lire).

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