Negrinha

Scénario de Jean-Christophe Camus. Dessin d'Olivier Tallec

Préface de Gilberto Gil traduite du portugais par Maryvonne Lapouge-Pettorelli

Rio de Janeiro, 1953. Maria, métisse de 13 ans, est élevée comme une jeune bourgeoise blanche de Copacabana. Or sa mère, qu'on prend pour sa bonne, est noire, analphabète, femme de ménage... et prête à tous les sacrifices pour que sa fille ne vive pas l'injustice de la négritude. Mais on n'échappe pas si facilement à sa condition. La vie de Maria est bouleversée quand un jour elle pénètre dans la favela où vit le reste de sa famille.
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      • 112 pages 170 x 240 mm

        ISBN : 9782070612093

        Date de parution : 15/01/2009

      • Illustrateur de couverture :

        Olivier Tallec

      • Collection :

        Bayou

La presse en parle

«Par petites touches enchaînées avec grâce, Jean-Christophe Camus et Olivier Tallec tissent un univers étonnamment limpide en s'appuyant sur les portraits rapidement mais très précisément brossés de multiples personnages» (Livres Hebdo, décembre 2008)

«Une BD très touchante, si remarquablement racontée qu'elle vous arrache des larmes» (Brune)

«Un bijou bouleversant de poésie sur la condition humaine» (Le Soir)

«Une histoire touchante, inspirée de faits réels, en même temps qu'un tableau pertinent du Brésil dans les années 50» (Ouest France)

«Avec la mise en scène aérée et colorée d'Olivier Tallec, ce récit se lit avec bonheur et les yeux qui clignent» (Casemate)

«"Negrinha" nous fait découvrir en 96 pages les subtilités du passé socio-culturel des Cariocas en se focalisant sur des personnages en état de grâce. Une pépite» (DBD)

«Negrinha est une belle réflexion sur la négritude, émouvante et sensible. Le Brésil y est décrit naturellement avec ses richesses culturelles et humaines, mais aussi ses contradictions et ses fractures» (Citrouille) 

«C'est avec une palette de couleurs gorgées de soleil, alliée à un trait tout en épure qu'Olivier Tallec a su donner vie à ce touchant récit» (La revue des livres pour enfants, avril 09).

«Une chronique de la vie à Rio dans les années cinquante racontée tout en finesse, sans long discours sur la misère ou le racisme, à travers de sobres vignettes, belles comme de délicates toiles peintes à l'huile» (Grains de Sel, n°52).